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Londres ► Rachel Parker

Sujet: Londres ► Rachel Parker   Ven 21 Juin - 16:33
Rachel Parker
Londres
Rachel Parker
Messages : 133 Localisation : Londres Statut : enfin divorcée, et enfin officiellement en couple avec l'amour de ma vie
Date de naissance : 05/10/1982 Métier : chirurgien pédiatrique et chef de service
Age : 41
Parker
Nom
Rachel
Prénom
36 ans
Âge
05/10/1982
Date de Naissance
Divorcée
Etat civil
Hétéro
Orientation
Chirurgien pédiatrique et chef de service
Occupation
Londres
Lieu d'habitation
Ft. Lana Parrilla
Avatar
Personnalité

-Rachel est déterminée, c'est ce qui l'a toujours fait réussir dans ce qu'elle entreprenait.
-Elle a depuis trois ans beaucoup de mal à s'ouvrir aux autres et à communiquer. Les seules personnes avec qui elle se sent en confiance sont les enfants.
-Elle adore son travail et excelle dans son domaine. C'est vraiment la seule chose qui la rend heureuse désormais.
-Bien qu'elle adore les enfants, elle refuse d'en avoir avec son mari.
-Rachel déteste Londres. Elle ne voulait pas venir, c'est son mari qui l'y a forcée, et la vie en Angleterre est très différente de celle qu'elle a toujours connue aux USA, cela ne lui convient pas.
-Elle est accro au café et si elle n'a pas sa dose, elle peut rapidement devenir infernale.
-Elle a pris sa première cuite lors de sa fête d'anniversaire pour ses 16 ans.
-Elle adore le vin blanc et a horreur du champagne. Etrangement, à chaque réception, c'est à coup de flûtes de champagne que Maxwell la saoule, et avec ses paroles aussi.
-Son record lors d'une intervention est d'être restée 18 heures dans un bloc.
-Dans le domaine médical, elle est réputée dans le monde entier pour la méthode de chirurgie qu'elle a inventée, pourtant sans aucune prétention, il y a de ça 6 ans.

Histoire


Chapitre 1 – Une famille de rêve.

-Rachel, ton père est rentré !
Cette phrase, la petite fille brune l’avait entendu, et attendu, toute son enfance durant.

La vie de Rachel-Mary Parker, plus communément appelée Rachel, le prénom que voulait lui donner sa mère, commença tel un conte de fée. Enfant désirée par ses parents, aimée et choyée, elle grandit au sein d’une famille riche. Mr Parker était un puissant homme d’affaire, travaillant en étroite relation avec Steve Jobs. Les Parker habitaient une luxueuse maison de San Francisco. Si le père de Rachel était un vrai requin dans son travail, ce qui d’ailleurs l’amena dans les plus hautes sphères, il n’en demeurait pas moins un père et un mari aimant aussitôt le seuil de la maison franchi. A la maison, c’était madame qui décidait, et c’était bien la raison qui faisait qu’ils ne déménagèrent plus jamais après la naissance de Rachel. Son père voyageait énormément pour son boulot, mais s’arrangeait toujours pour être présent aux dates importantes comme les anniversaires ou Noël. Il ne put être présent en personne pour le premier gala de danse de sa fille lors de ses 8 ans, puisque son travail lui imposait d’être en Chine à la même date, mais faisant fi du décalage horaire, il assista en direct en visioconférence à l’interprétation de sa petite ballerine.

Le sourire ne quittait plus les lèvres de la demoiselle chaque fois que son père était à la maison. Elle l’adorait, tout comme elle adorait sa mère, et elle faisait tout pour les rendre fiers. Ses parents l’avaient inscrite dans l’école primaire la plus réputée de San Francisco, puis dans le collège  privé également le plus côté. Rachel aura toujours été une élève appliquée et une enfant modèle, il était rare que sa mère ait à la réprimander, ses notes étaient toujours excellentes et elle était aussi très douée dans ses activités extra-scolaires (sauf en piano, mais sa mère l’autorisa à abandonner, bien qu’elle eut très peur de décevoir son père qui était un fin mélomane).

Chapitre 2 – Une rencontre qui change tout.

Si Mme Parker se refusait à déménager pour le travail de son mari, néanmoins elle acceptait volontiers les voyages qui allaient avec. Aussi, le début de l’été 1996 qui marqua la fin du collège pour Rachel fut ponctué par une séjour d’une dizaine de jours au Bahamas, où les familles des employés de l’entreprise pour laquelle travaillait Mr Parker étaient conviées. Ainsi, pendant que les messieurs travaillaient à leur congrès Apple, les femmes se faisaient dorer au soleil, des cocktails à la main ou masser de la tête aux pieds. Ce fut au cours de ce voyage que Rachel fit la connaissance de Frank Turner, un jeune garçon de son âge dont le père était un collègue du sien. Immédiatement, le courant passa entre les deux jeunes adolescents, et ils passèrent des vacances remarquables. Elles n’en furent qu’égayées d’avantage lorsque Rachel apprit que Frank habitait aussi San Francisco et qu’à la rentrée, ils seraient dans le même collège. Autant dire que le vol du retour fut beaucoup moins amusant pour les hôtesses de l’air que pour eux qui avaient passé 6 heures à s’amuser. Le reste de l’été fut tout aussi amusant. Jamais Rachel n’avait eu un ami aussi génial, aussi proche d’elle, qui la comprenait autant, qui la faisait autant rire. Chaque minute passée en la compagnie de Frank était une réelle évasion et grâce à lui, elle appréhendait moins ce nouveau monde que serait le lycée d’ici peu. Cet été 1996, celui de ses 15 ans, fut sans doute le plus génial qu’elle ait vécu jusqu’à son entrée dans ce fameux lycée. A un détail près. Au fil des semaines, la jeune fille avait développé des sentiments un peu plus poussés que de l’amitié envers son cher Frank, et elle avait passé le mois d’aout à espérer qu’il lui demande de sortir avec lui, ou qu’il l’embrasse sans crier gare un soir en la ramenant après l’une de leur après-midi rollers qui s’était soldée par une glace. Ou encore qu’un jour il lui dédie l’un des poèmes qu’il aimait tant dans le but de lui déclarer sa flamme. Mais non, un tel jour n’arriva jamais. La rentrée des classes, en revanche…

Chapitre 3 : Les gens changent.

-Je suis reçue chez les pompom girls !!! avait-elle hurlé en sautant de joie dans les bras de Frank à la fin de leur premier jour au lycée.

Et alors qu’ils rentraient à pieds pour rallonger le temps de parcours et pouvoir se raconter leur journée, toutes les appréhensions que Frank avait passé l’été à essayer de dissiper chez Rachel concernant le lycée s’étaient envolées. Les jours passaient, et Rachel y évoluait comme un poisson dans l’eau. Elle se trouva être une pompom girl très douée et gagna rapidement en popularité, d’autant qu’étant très belle, elle faisait déjà tourner quelques têtes. Elle ne s’en était jusqu’à présent jamais rendu compte, mais elle intéressait beaucoup de garçons, et eux, contrairement à Frank, ne se privaient pas pour lui faire des compliments et lui faire comprendre qu’elle était désirable. C’était clair à présent : jamais Frank ne voudrait sortir avec elle, elle s’était fait une raison.

Les semaines passaient, et peu à peu, Frank et Rachel s’éloignaient, sans que la demoiselle ne s’en rende vraiment compte. Elle était l’une des filles les plus populaires du lycée, alors que lui n’était qu’un intello passe-partout de qui parfois certains se moquaient.

Pour ses 16 ans, Rachel eut l’autorisation de faire une fête chez elle. Son père lui avait offert une voiture de sport flambant neuve, garée dans l’allée, et elle avait invité toute sa classe ainsi que les petits-copains de ses nouvelles amies pompom-girls. Les Parker avaient laissé libre champ à leur fille et avaient pris le jet de la boite pour passer le week-end à Hawaï. La soirée fut mémorable pour Rachel qui crut passer le plus bel anniversaire de sa vie, ne comprenant pas vraiment pourquoi Frank ne s’amusait pas autant qu’elle. Mais elle ne pouvait pas s’occuper que de lui, elle avait une quarantaine d’autres invités. L’alcool coulait à flot dans les gosiers et dans la piscine chauffée, la musique pulsait, les jeux à boire les plus stupides défilaient, bref, tout pour une soirée d’ado réussie. Le clou de la soirée pour Rachel fut quand le capitaine de l’équipe de basket du lycée l’embrassa sous les applaudissements des adolescents présents. Elle avait tout pour être heureuse à présent, son petit ami était le garçon le plus en vue du lycée.

Le premier trimestre était passé et Rachel s’était tellement éloignée de Frank, sans même s’en apercevoir, que leurs seuls contacts étaient lorsqu’ils se croisaient à leurs casiers, qui étaient tout proches. De temps en temps, Rachel remarquait quelques bleus sur le visage de Frank, mais elle prenait ça pour une stupide bagarre d’ado comme celles auxquelles participaient les amis de son petit copain parfois. Elle n’appréciait cependant pas lorsqu’elle remarquait les moqueries dont était victime Frank, mais que pouvait-elle faire ? A présent qu’elle était bien intégrée, pouvait-elle se permettre de le défendre face à ses amis ? Pouvait-elle prendre le risque de redescendre sur l’échelle sociale alors que ses parents étaient si fiers ? Pourquoi Frank ne pouvait-il pas s’adapter, comme elle l’avait fait ?

Le lycée s’acheva et à la remise de diplôme, le nombre de fois où Frank et Rachel s’étaient parlé en dernière année pouvaient se compter sur les doigts d’une main. D’ailleurs, elle ne le vit pas lors de la remise de diplômes… Ils étaient devenus de parfaits étrangers.

Chapitre 4 : la vraie vie commence.

Après le lycée, Rachel opta pour la fac de médecine, à la grande fierté de sa mère. Ses notes excellentes lui permirent d’avoir celle de son choix, l’une des plus réputées à Miami, pour la plus grande joie de son père. Son doctorat de médecine validé, elle choisit de se spécialiser en chirurgie, et au fil des stages et de ce qu’elle apprenait, le Dr Parker affina encore sa spécialisation et choisit la pédiatrie. Elle s’aperçut en effet qu’elle adorait les enfants. A l’âge de 30 ans, elle sortit donc diplômée chirurgien pédiatrique, extrêmement bien classée. Plusieurs hôpitaux par-delà le pays voulaient l’avoir dans leur établissement. Pendant le laps de temps qu’elle s’accorda pour réfléchir, la boite de Mr Parker organisa une soirée de bienfaisance. Mme Parker ne put s’y rendre, aussi Rachel accompagna son père. Ce fut lors de cette soirée qu’elle rencontra Maxwell Davis. Elle eut un véritable coup de foudre pour cet homme qui semblait être quelqu’un d’aussi généreux que son père. Il venait de verser 180 000 dollars pour les enfants souffrants en Afrique, ce qui acheva de faire chavirer le cœur de la belle brune.

Après un an de relation, ils finirent par se marier en grande pompe sur une plage de San Francisco. Rachel Parker devint Rachel Davis, l’épouse du grand Maxwell Davis, celui qui était devenu le bras droit de l’un des plus puissants mania de l’informatique. De son côté, la carrière de Rachel décolla. Elle parvint à inventer une méthode de chirurgie pour faciliter les interventions sur les nourrissons, et bientôt, la méthode Davis fut connue de tous les médecins et enseignée en fac de médecine l’année suivante.

Rachel pensait vraiment que son mariage ferait d’elle une femme comblée, comme pouvait l’être sa mère avec son père. Elle était loin du compte. En réalité, après deux premières années de mariage et trois ans de relation idyllique, Maxwell montra peu à peu son vrai visage. Du mari protecteur, attentionné et délicat, il passa au jaloux possessif imbu de lui-même. Tout commença lors d’une soirée importante organisée par sa boite, qui devait avoir lieu à Vancouver. Il leur fallait prendre l’avion immédiatement après une intervention importante que Rachel ne pouvait reporter sans risquer la vie de l’enfant. Maxwell l’attendait avec impatience devant l’hôpital, dans sa luxueuse berline avec chauffeur. Le Dr Davis arriva enfin, avec une heure de retard, ce qui était assez peu au vu de la difficulté de l’opération.

-Eh bien, j’ai failli attendre ! lança-t-il visiblement exaspéré en finissant son verre de Scotch.
-Je suis désolée chéri, j’ai eu des complications. Mais l’enfant est sauvé.
-Tu mettras cette robe ce soir.
-Je pense que je vais plutôt t’attendre à la maison, il y a un virus qui court et je me sens un peu…
-Tu es médecin non ?! la coupa-t-il. Alors soigne-toi. J’ai besoin que tu sois là ce soir !
-Max…

Il ne semblait déjà plus l’écouter, le nez plongé dans son discours, tandis que le chauffeur démarrait.

Il fallait toujours que Rachel soit la plus belle pour qu’il puisse la faire admirer aux autres requins que Maxwell fréquentait. Elle était brillante, c’était parfait. En revanche, il supportait très mal qu’elle soit amie avec des collègues masculins à l’hôpital. Il envoyait toujours son chauffeur la chercher et se permettait même de lui interdire parfois toute sortie avec ses collègues s’il était à l’étranger. Ce comportement douteux fut élucidé lorsqu’elle comprit quelques mois plus tard qu’il la trompait. On n’est pas jaloux soudainement sans raison, n’est-ce pas ? Le monde de Rachel s’effondra. Comment avait-elle pu en arriver là ? Que pouvait-elle faire ? Ses parents aimaient tellement Maxwell, jamais ils ne comprendraient qu’elle veuille se séparer de lui. Ils seraient si déçus… Non, elle ne pouvait pas leur faire ça. Mais c’était beaucoup trop dur à supporter pour elle. Un jour, elle voulut une explication entre quatre yeux.

-Max, il faut qu’on parle sérieusement. Je ne comprends pas ce qui a pu nous arriver, mais il est clair que ça ne va pas. Si tu n’es pas heureux avec moi, si je ne te suffis pas, on a qu’à divorcer.

Il la regarda quelques secondes avant d’éclater de rire.

-Mais ma chérie, je suis parfaitement heureux avec toi, déclara-t-il d’une voix si faussement doucereuse qu’elle en eut froid dans le dos. Et ne t’avise plus jamais de prononcer le mot « divorce », ou crois-moi, je ferai de ta vie un enfer.

Le sourire qui étira ses lèvres pour ponctuer cette phrase bouleversa Rachel. Pour la première fois, il avait réussi à lui faire peur.

Il était devenu si insupportable après ça que Rachel en venait à se réjouir lorsque le travail de Maxwell l’appelait à l’autre bout du monde. Mais cela se faisait trop rare à son goût. L’homme d’affaire continuait à jouer une sorte de comédie selon laquelle tout allait bien dans le meilleur des mondes, l’obligeant à faire de même alors que chaque cellule de son corps hurlait de fuir loin de cet homme. Mais fuir, pour aller où ? Pour faire quoi ? Elle était piégée.

Peu à peu, Rachel commença à se renfermer sur elle-même, perdant son sourire naturel si doux, l’éclat dans son regard qui ne s’allumait que lorsqu’elle travaillait, et surtout sa sociabilité. Les adultes qu’elle côtoyait désormais, elle les mettait tous sur le même pied d’égalité.

L’année suivante, Maxwell organisa une réception pour les 35 ans de Rachel. Il avait fait venir leurs parents respectifs, et ses amis à lui. Il avait tout choisi dans les moindres détails, jusqu’à la coiffure qu’elle aurait, les boucles d’oreille qu’elle porterait et la couleur de son vernis. Lors d’un discours (il adorait faire ça), alors que la jolie brune ne l’écoutait déjà plus, droite à ses côtés, une flûte de champagne en main, les seuls mots qu’elle entendit la firent tressaillir.

-… et nous avons donc décidé de faire un enfant pour sceller notre amour.

Elle sentit alors tous les regards et sourires se poser vers elle tandis qu’une fulgurante envie de pleurer et de vomir la prit. Tout le monde semblait enchanté de cette décision… cette décision qu’il avait prise seul ! Sans doute pour faire plaisir à ses parents qui n’attendaient que ça. Après tout, ne fallait-il pas donner à tout le monde l’impression qu’il n’y avait pas plus parfait que leur couple ?
Les invités enfin partis, folle de rage, Rachel balança l’escarpin Louboutin hors de prix qu’elle venait de retirer au travers du dressing, tandis que dans la chambre, face à une psyché, Maxwell retirait ses boutons de manchette en or.

-Un enfant ?! Tu es tombé sur la tête ou quoi ?! Et qui va s’en occuper ? Toi peut-être ? Tu aurais dû dire « j’ai décidé », parce qu’il me semble qu’on n’a jamais évoqué le sujet !
-Tu adores les gosses, tu en découpes toute la journée ! Et si c’est son éducation  qui t’inquiète, tu n’auras qu’à arrêter de travailler. Ou alors on prendra une gouvernante, je m’en fous, tu choisiras. C’est un job de femmes ce genre de trucs.  Dépêche-toi de te changer, on commence les essais ce soir.
-Tu me dégoutes, Maxwell ! Jamais j’aurais cru que tu pouvais être aussi odieux !


Chapitre 5 : Une nouvelle vie à l’autre bout du monde.

L’année suivante, alors que toujours aucun bébé ne pointait le bout de son nez, Maxwell Davis décida qu’il serait mieux pour sa femme de changer d’air. Il les fit donc déménager à Londres, sans avoir demandé le consentement de Rachel qui eut le cœur brisé de devoir s’éloigner encore plus de sa mère. L’Europe, c’est exotique, non ? Voilà donc deux mois que les Davis habitaient un luxueux appartement à Kensington. Max passait le plus clair de son temps à La City, quand son travail ne le rappelait pas aux Etats-Unis ou ailleurs dans le monde. Rachel, quant à elle, n’eut aucun mal à trouver un poste au Great Osmond Street Hospital où son arrivée fut perçue comme une incroyable aubaine. Après tout, elle était une pointure dans son domaine, et tout un chacun était excité à l’idée de voir pratiquer par son auteure la méthode « Davis ». Mais le Dr Davis était loin de celle qu’elle était lorsqu’elle mit au point ce protocole. Désormais, elle était loin d’être la plus aimable avec ceux qui lui posaient des questions inutiles, leur rétorquant qu’ils n’avaient qu’à lire les comptes rendus de ses interventions ou venir assister à l’intervention, mais sans ouvrir leur clapet. Les seuls êtres humains à bénéficier de ses sourires et paroles douces étaient ses petits patients pour qui elle se dévouait corps et âme. Eux, ils en valaient la peine, ils étaient innocents…


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Pseudonyme : toujours Jen'
Âge : 33
Commentaire : pareil que Sally & Evanna



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Sujet: Re: Londres ► Rachel Parker   Ven 21 Juin - 17:56
The Traveller
Fondateur
The Traveller
Messages : 198
Bienvenu chez toi "again" lol.
Par contre, ton texte est trop long dans la case "occupation". On ne voit pas se qu'il y a après chirurgien pédiatrique T.T
Sujet: Re: Londres ► Rachel Parker   Ven 21 Juin - 19:42
Sally Hamilton
Los Angeles
Sally Hamilton
Messages : 361 Date de naissance : 01/11/1985 Age : 38
Ah zut, c'était chef de service xD
Sujet: Re: Londres ► Rachel Parker   
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