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Los Angeles ► Nolan Hamilton

Sujet: Los Angeles ► Nolan Hamilton   Ven 21 Juin - 11:21
Nolan Hamilton
Los Angeles
Nolan Hamilton
Messages : 205 Localisation : quelque part Statut : Préoccupé
Métier : Plein de choses à lafois
Hamilton
Nom
Nolan
Prénom
40 ans
Âge
13/05/80
Date de Naissance
Divorcé sur le papier
Etat civil
Hétéro
Orientation
Proprio d'un bar
Occupation
Los Angeles
Lieu d'habitation
Ft. Sean Maguire
Avatar
Personnalitée

Jadis il aimait écrire et composer. Maintenant il se concentre sur son établissement. Il lui arrive de sortir de temps en temps. Prendre sa bécane et faire le tour de la ville. Il aime aussi aller courir pour entretenir sa carrure.
Objectif(s) de vie : Continuer à faire tourner son établissement, le rendre un peu plus populaire. Aider des petits jeunes, ou des groupes à se faire connaître. Etre un bon père pour sa fille. Connaitre l'identité de son père biologique

Il aime : sa fille, son chien, les photos en noir et blanc. Ecouter des vinyles. Se siffler une bonne bière face à la mer. Gratter sur sa guitare, chanter..
Il déteste : son ex femme, les réseaux sociaux tout ce qui attrait à la célébrité, aux magazines, le mensonge.

Histoire

Premier couplet : Il était une fois…

Les belles histoires ne commencent-elles pas toujours de cette façon ? Le commencement, l'introduction, le début, la prémisse, tout y est toujours tout beau, tout rose, l'on peine à imaginer le pire et pourtant l'on devrait dès lors se méfier des aléas de la vie et des quelques tourments qu'elle se réserve le droit de nous offrir quand on s'y attend le moins. La vie de Nolan Hamilton a commencé un 13 mai 1980. Nous vous épargnons le détail du, il faisait beau, presque chaud, les oiseaux paradaient les uns autour des autres se livrant à quelques chants de conquêtes rodés depuis la nuit des temps. Pour dire vrai, ce jour-là, il pleuvait à corde et les oiseaux se planquaient tous. Nolan semblait avoir vu le jour à New-York. Une ville qu'il a longtemps porté avec fierté sur ses larges épaules. Jack, « son père » se plaisait à lui dire d'un ton solennel « Il faut être fier de ses racines Nono, de là où nous venons » mais notre protagoniste avait appris que les siennes de racines étaient ancrées à Sacramento, dans le champ d'un fermier qui un jour d'août 1979, avait permis au « Summer Paradise Festival » de poser ses valises et de tenter de rivaliser modestement avec Wootstock.

Jeune, la mère de Nolan était de celle qui parcourt le monde aspirant à plus d'indépendance et éprise de liberté. Avant d'être mère, elle était une jeune photographe de talent, diplômée et boursière de l'Université du Minessota. Dans les années soixante-dix, elle a même étudié à Paris, sa fille natale. Il faut dire qu'avec Beauchamp en guise de patronyme, il est difficile d'imaginer qu'elle soit pourvue de racine italienne, allemande ou autre. Cependant, malgré l'exotisme de son nom, Fiona ne s'étalait pas vraiment sur la France, sur ses parents, qu'elle a suivi en Amérique à l'âge de dix, pour peur à peur mettre de la distance entre eux. Elle a par la suite, roulait sa bosse officiant même un temps chez « Life » magazine avant de couvrir quelques festivals estivaux. Et c’est au court de l’un d’entre eux, qu’elle fait la connaissance d’un groupe inconnu à l’époque mais célèbre aujourd’hui. Une rencontre plus approfondit avec le chanteur, qui laisserait quelques traces. Le père de Nolan, Jack était un homme plus terre à terre, moins rêveur que sa belle photographe il est vrai, mais doté d'un romantisme à faire pâlir les Hugh Grant et autre Richard Geere. Dépourvu de diplôme et désireux lui aussi de mettre de la distance avec ses parents, il a très vite appris à devenir indépendant. Se découvrant de véritables capacités pour la rénovation, il monta avec son ami, une petite entreprise sans prétention, arborant en guise de logo les emblèmes de son équipe de football favorite, car oui, le bonhomme était un grand amateur de sport. Comme des millions d'Américains, il avait érigé en tradition, le Super-Bowl et c'est d'ailleurs à cette occasion que son regard a croisée celui de Fiona, célibataire, mais enceinte de cinq mois.

Qu'il était beau ce petit bébé de 3,5 kg et pourvu d'un regard azur qui jamais ne se ternira. Jack n'hésita pas une seconde et adopta le petit Nolan pour l'élever comme son fils. Avec Fiona, ils décidèrent même de ne jamais rien dire à leur petit bonhomme. Grandissant dans un foyer emplit d'amour, le petit Nono s'est épanoui. Se découvrant des facultés en musique, il apprend très vite le solfège et démontre quelques capacités au grand dam de Fiona. Jack quant à lui, initie le petit à sa passion tout en l'encourageant à continuer à faire de la musique. Les années passent et voilà notre cher Nolan foulant les couloirs du lycée. Cependant, il abandonnera très vite les études pour pouvoir aider son père. Cela durera deux ans, avant que Fiona et Jack parviennent à convaincre le jeune garçon de reprendre le lycée. A sa grande surprise et malgré son retard, Nolan parvint à s'intégrer très rapidement. Il rejoint l'équipe du lycée à la grande fierté de son père tout en prenant l'option art qui pourra lui rapporter facilement des points. C'est à cette occasion qu'il fait la connaissance de Sally, la petite prodige appelée à jouer les premiers rôles de chaque comédies musicales. Le jeune homme s'occupait des arrangements musicaux, il composait même tout en jouant au football. A cette époque, il jouissant d'une grande popularité et nombreuses étaient ses groupies sur le terrain, cependant lors de la troisième année de lycée, à force de nombreuses répétitions et à grand renfort de chanson d'amour c'est belle et bien Sally qui lui met le grappin dessus. Une relation qui si elle ne déplaît pas aux Hamilton, fait enrager la mère de Sally, adhérente du jugement facile et du mépris des classes populaires. La dernière année, permit à Nolan, malgré un concours de circonstance, de monter sur scène avec Sally pour remplacer le premier rôle masculin, sur le final du spectacle. Ce moment lui permit de se rendre compte qu'il aimait la scène, mais plus encore Sally qu'il épousera en secret peu de temps après cette émouvante performance.

Deuxième couplet : Les histoires d’amour finissent mal en général.

Suis-je vraiment obligé de parler d'elle ? Vraiment ? Vous ne préférez pas continuer à employer la troisième personne du singulier pour égrainer mon histoire ? Pas de réponse, j'en déduis que non. Et puis passé les années lycées, nous avons continué à être heureux contrairement à ce que les mauvaises langues peuvent raconter. Et si vous voulez des noms, je me contenterais de balancer le dragon qui m'a servi de belle-mère. Avec le football, j'ai réussi à décrocher une petite bourse pour une fac pas trop éloignée. Oui, aussi surprenant que cela puisse être j'ai continué mes études, mais une fois n'est pas coutume, j'ai préféré arrêter. Je suis terre à terre comme mon ...comme celui qui m'a élevé. Et puis avec Sally, nous attendions un heureux évènement. Je voulais, de ce fait, faire ce que fait tout bon mari, subvenir au besoin de sa famille, me fichant royalement des remarques du dragon. Je voulais aussi nous assurer une sécurité pour que Sally puisse continuer sa carrière jusqu'à se faire un nom. Contrairement à ce que mes détracteurs laissent entendre, j'ai toujours cru en elle, autant que je l'ai soutenu. Prenez ça dans votre gueule !

La naissance de Sunny fut comme une révélation pour moi. Je pensais ne pas être capable d'assumer mon nouveau rôle et pourtant je crois que ce fut le plus beau que l'on ne m’ait jamais offert. C'était une chouette période, Jack ne chômait pas et pour me remercier, il avait fait de moi son associé. Sally quant à elle se faisait un nom (avec le mien) Je m'occupais donc de notre petit trésor, tout en noircissant les pages de mon petit carnet. Je n'ai jamais cessé d'écrire, ni de gratter ma guitare pour le plus grand plaisir de Sunny. Ouais, nous étions heureux, nous vivions bien, mais au fond de moi, sans jalousie, la célébrité grandissante de Madame Hamilton commençait à m'agacer, autant que sa personnalité superficielle nouvellement acquise. Ce fut pire, lorsque nous quittâmes New-York. Mais dois-je vraiment m'épandre sur cette période ? Vous ne voulez pas vous contenter de la version courte ? Vraiment ?! Ok, j'ai compris. Mon père est mort, moi qui le pensais invincible, il s'est laissé emporter par une crise cardiaque. Il aurait pu aussi emporter avec lui ses secrets, mais non. Le choc funeste a été causé par une lettre écrite de la main de mon père biologique. J'ignorais que Jack était fragile au point de ne pas encaisser les chocs. J'ignorais aussi qu'il n'était pas mon père. Autant que pour la naissance de ma fille, la mort de mon « père » fut une révélation, qui elle me conduisit dans le fond du fond au lieu de m'élever. Me sentant incapable d'accepter la chose, j'ai tu ce secret, je ne voulais pas y croire, alors à quoi bon le faire entendre ? Couper les ponts avec ma mère n'en demeurait pas moins une évidence. Elle m'avait menti durant toutes ses années, lui accordait mon pardon était une hérésie. J'ai donc accepté de vendre l'entreprise paternelle pour suivre mon actrice de femme jusqu'à sa nouvelle ville. Le début de la fin !

Que dire de cette ville ? Fantasme pour certain, cauchemar pour d'autres, il ne subsiste pas de juste équilibre. Moi, le petit péquenaud, je m'y suis vite perdu. Trop de paillettes, trop de lumière, de la surenchère encore et encore. Il me fallait une échappatoire et je l'ai trouvé en investissant dans un bar-club que j'ai pris soin de rénover. Pourvu d'une scène ouverte, il me permettait d'exercer un boulot tout en conciliant une passion. Mais comme on dit « ca c'était avant » Avant quoi ? Avant que ça ne se gâte définitivement, avant l'avènement de ces réseaux à la con auxquels Sally avait souscrit au nom de sa célébrité. Je me retiens, car l'amertume est encore au rendez-vous-même six ans après. Vous savez, je l'ai toujours soutenu, j'ai cru en elle, j'ai été bienveillant, j'ai accepté de voir sa carrière rythmait notre vie. J'ai tout accepté sans rien dire, même ces « shippers » qui adulaient le couple fictif qu'elle formait à l'écran avec ce type au sourire bright. Et voilà qu'un jour, l'on me pointe du doigt, que les premières rumeurs de tromperie afflux sur les réseaux sociaux. De parfaits inconnus par le biais de hashtag et de que sais-je encore, s'amusaient donc à raconter n'importe quoi sur moi. Ça allait du « Il flirt avec ses serveuses » à « Il se tape des clientes dans la réserve » jusqu'à la publication d'une « sex tape » dans laquelle on entrapercevait un type qui se livrait à une petite pénétration en bon et due forme dans une ruelle. Bien sûr, il me ressemblait et bien sûr, la qualité de la vidéo ne permettait pas d'être totalement sûre de l'identité de l'exhibitionniste. Mais parfois le doute suffit au détriment de la vérité.

En un claquement de doigt j'ai perdu ma femme, ma fille, ma dignité et j'en passe et des meilleurs. Je crois qu'on parle de traversée du dessert en de telles circonstances. Sally et moi nous nous sommes déchirés. Cette connasse a préféré donner plus de crédit aux rumeurs, croire ses pétases de copines, ses enfoirés de fans, plutôt que moi, son mari. Autant vous dire que je ne faisais pas le poids. Nous avons divorcé en 2013, je me suis vainement battu pour avoir la garde de Sunny. Me suis-je battu pour rétablir la vérité ? Oui, j'ai essayé, mais pour ne rien vous cachez, j'en voulais et j'en veux encore tellement à Sally, que je préfère même plus essayer. Je ne pourrais lui pardonner ce qu'elle m'a fait endurer, je ne pourrais lui pardonner la présomption d'innocence dont elle ne m'a pas affublé. Elle a choisi son camp, j'ai choisi le mien. La seule victime dans cette histoire c'est bel et bien Sunny...Et pour conclure, je tiens à préciser que j'ai repris du poil de la bête, il m'aura fallu une année pour sortir la tête de l'eau, mais j'y suis parvenu et je me concentre sur ma propre carrière et sur mon établissement qui se fait un petit nom depuis quelques années.

A votre propos

Pseudonyme : SL-27
Âge : Canonique
Commentaire Venez au Big Apple, c'est ma tournée !



En envoyant ma fiche à la validation, je confirme avoir pris connaissance du règlement du forum dans son intégralité et j'ai conscience que toute infraction se verra sanctionnée de manière appropriée par le STAFF de "All Over The World"
Sujet: Re: Los Angeles ► Nolan Hamilton   Ven 21 Juin - 11:55
The Traveller
Fondateur
The Traveller
Messages : 198
Bienvenue à la maison petit scarabée
Sujet: Re: Los Angeles ► Nolan Hamilton   Ven 21 Juin - 12:36
Nolan Hamilton
Los Angeles
Nolan Hamilton
Messages : 205 Localisation : quelque part Statut : Préoccupé
Métier : Plein de choses à lafois
Merci bien "maitre yoda"
Sujet: Re: Los Angeles ► Nolan Hamilton   Sam 22 Juin - 2:19
Sally Hamilton
Los Angeles
Sally Hamilton
Messages : 361 Date de naissance : 01/11/1985 Age : 38
Bienvenue love of my life. My sun and stars.
Sujet: Re: Los Angeles ► Nolan Hamilton   Sam 22 Juin - 14:50
Nolan Hamilton
Los Angeles
Nolan Hamilton
Messages : 205 Localisation : quelque part Statut : Préoccupé
Métier : Plein de choses à lafois
Wow quel accueil !
Sujet: Re: Los Angeles ► Nolan Hamilton   
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